Quarante ans déjà… Alors, âge du classicisme ou âge de déraison ?
Et, d’abord, puisqu’il est question d’héritage, existe-t-il un legs de cette période agitée de notre histoire récente ?
Je note pour commencer que le regain d’intérêt actuel pour ce qui s’est passé il y a quarante ans témoigne de la difficulté à prendre la mesure, non seulement de l’événement lui-même, aux innombrables facettes, mais des changements culturels qu’il a induit et qu’il continue, peut-être, de provoquer.
