La cuisine ressemble à un ballet ou à un orchestre. Ici pas de danseur-étoile, ni de premier violon mais la répétition des gestes, la précision des cuisson, le sens du rythme, la synergie des forces. Et Régis, le réservé, le cuisinier zen qui hausse parfois le ton, donne de la voix : »Allez, on y va, on les aime ces clients ! »
