, du temps pulsé et en cinq petites heures, depuis Genève, on s’y trouve….
Et là, c’est vraiment le choc ! A commencer par ces plateaux de l’Aubrac, altiers et fondateurs, creusés de songes, de rendez-vous invisibles. Des lieux telluriques que l’on aimerait parcourir à pied, de buron en buron, traversant les pâtures, parmi les troupeaux aux tons fauves, cernés de basses murailles, des murs en pierres sèches avec, ça et là, d’étranges dolmens.
Un paysage de recommencement du monde. « Le souffle de l’Aubrac » comme le nomme Michel Bras (prononcez le « s » final).
