Vous, mes « compaings du pain rassis » et du tuber melanosporum, mes géosensoriels des tribus inquiètes…
Vous, mes frangines de la sapience, qui savez relancer le jeu…
Vous, stalkers du désespoir en allé, passeurs de silences qui, parfois, vous égarez entre ces lignes, happés par un riff ou une phrase flottante…
Vous avez raison d’être là, de surfer sur ce blog. Voici pourquoi !
