Dans le désordre, il aime la Facel-Vega (qu’il associe obsessionnellement à la ville de Dijon), s’accouder au Fish, vivre incognito, filer la métaphore quand il décrit un plat (rarement), une atmosphère, les jeux de l'amour (le plus souvent).
Il prise le Japon telle une drogue douce et délétère, lit le Dit du Genji, écoute en boucle The Kills, adore prendre le petit train rouge qui monte à Gstaad. Il aime écrire, vite, par saccades, convulsivement.
Du dandy, il a le goût des masques, du sublime, la hantise de la décélération, la peur de vieillir tranquille. Il respire, dort et dîne devant un miroir.
Elles sont toutes là. Couchées sur les pages, entre les lignes, tapies dans l’ombre…
Photo tirée du blog de François Simon, Simon Says