D’abord, il y faudrait le cadre musical. Une ouverture au cor. Le lac qui se détache sur les montagnes de Savoie. Crêtes qui sculptent le paysage tels des sons inouïs. Allegro non tropo puis Allegro appassionato…
Ce devrait être du Brahms : le concerto no 2 dans l’interprétation de Daniel Barenboim sous la direction de l’intense Celibidache.
C’est la musique qui me vient aux sens à l’instant d’entrer dans ce jardin somptueux, chez mes amis A. et M.

La lucidité est là, parée, beauté invisible, au milieu de la fête, dans le bruissement des conversations. Elle s’invite toujours
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