Une salade gourmande improvisée
Temps de préparation 5 minutes
Temps de cuisson partons du principe que le veau a été précuit la veille pendant 2 heures à feu très doux, dans un bouillon, comme un pot au feu. Prochainement je vous donnerai une autre recette amusante à ce sujet. C’est vrai, ce n’est pas tout à fait l’ordre chronologique mais je m’arrangerai avec la stochastique.
Difficulté 1/5
Temps de préparation 5 minutes
Temps de cuisson partons du principe que le veau a été précuit la veille pendant 2 heures à feu très doux, dans un bouillon, comme un pot au feu. Prochainement je vous donnerai une autre recette amusante à ce sujet. C’est vrai, ce n’est pas tout à fait l’ordre chronologique mais je m’arrangerai avec la stochastique.
Difficulté 1/5
Votre marché pour 4 personnes
200 g de pourpier
Un morceau de viande de veau d'environ 300 g, cuit la veille. Demandez à votre boucher un morceau de couvercle de noix première : cette partie du veau, peu connue, est très intéressante par sa texture, légèrement fibreuse.
Huile de noisette
Jus de citron
Un cs de bouillon de cuisson réduit
Gomasio
Quelques fleurs de câprier
Piment d’Espelette
Préparation
Vous n’aurez qu’à laver et essorer votre salade.
Tranchez ensuite votre morceau de veau très finement.
Emulsion citron et huile de noisette
Dressez sur assiette. La salade et la vinaigrette. Un trait ou deux de jus de viande réduit.
Assaisonnez la viande de gomasio et piment d’Espelette. Parsemez de fleurs de câprier et c’est goal !
Tranchez ensuite votre morceau de veau très finement.
Emulsion citron et huile de noisette
Dressez sur assiette. La salade et la vinaigrette. Un trait ou deux de jus de viande réduit.
Assaisonnez la viande de gomasio et piment d’Espelette. Parsemez de fleurs de câprier et c’est goal !
Samuel Tinon
Le vin qui l’accompagne un Tokaji Dry 2006 de Samuel Tinon qui un jour a déposé ses valises du côté de Olaszliszka en Hongrie et n’en est plus reparti. Le Mur venait de tomber et toutes les aventures viticoles devenaient tout à coup possibles dans cette terre de légende. Samuel a d’abord travaillé pour la Royal Tokay Wine Company chère à Hugh Johnson (dont nous avons longtemps distribué les vins), puis pour Oremus. Aujourd’hui il a créé son propre domaine avec des idées très précises sur ce qu’est un grand liquoreux de Tokaj : "30 ans de communisme sont partis dans la suroxydation et 15 ans de capitalisme dans le soufre et la réduction. Il y a des moyens de faire entre les deux et d’éviter ces deux écueils…."
Je n’avais encore jamais dégusté son Tokaji Dry : très fin, notes oxydative discrètes, fleurs blanches. Le nez évoque celui d’un Fino. Très jolie bouche, tendue, ciselée, très pure dans son expression.
Je n’avais encore jamais dégusté son Tokaji Dry : très fin, notes oxydative discrètes, fleurs blanches. Le nez évoque celui d’un Fino. Très jolie bouche, tendue, ciselée, très pure dans son expression.
5 Comments
il faudra un jour rendre hommage à Warren Buffet dont les facultés d’analyse dépassent tout ce qui existe:
« Tout va très bien pour les riches dans ce pays, nous n’avons jamais été aussi prospères. C’est une guerre de classes, et c’est ma classe qui est en train de gagner »
« Si une compagnie réussit, son cours de bourse finira par suivre. »
« Vous n’avez pas raison parce que d’autres sont d’accord avec vous. Vous avez raison parce que vos faits sont exacts et que votre raisonnement est juste. »
« Notre but est de découvrir des compagnies extraordinaires à des prix ordinaires et non des compagnies ordinaires à des prix extraordinaires. »
« À la Bourse, il y a deux règles fondamentales à respecter. La première est de ne pas perdre, la seconde est de ne jamais oublier la première. »
« Ce que nous faisons est à la portée de tout le monde. Il n’est tout simplement pas nécessaire de faire des choses extraordinaires pour obtenir des résultats extraordinaires. »
« Je veux pouvoir expliquer mes erreurs. C’est pourquoi je ne fais que des choses que je comprends. »
« Quand on est dans un trou, la pire chose à faire est de continuer de creuser. »
« Quand un dirigeant avec une réputation d’excellence s’attaque à une entreprise avec une réputation de médiocrité, c’est la réputation de l’entreprise qui demeure intacte. »
« Les bons jockeys font bien sur les bons chevaux, mais rien sur les canassons. »
« Quelqu’un s’assoit à l’ombre aujourd’hui parce que quelqu’un d’autre a planté un arbre il y a longtemps. »
« Ne demandez jamais à un barbier si vous avez besoin d’une coupe de cheveux. »
« Mieux vaut avoir approximativement raison qu’avoir précisément tort. »
« C’est quand la mer se retire qu’on voit ceux qui se baignent nus. »
« Les prévisions vous en disent beaucoup sur ceux qui les font, elle ne vous disent rien sur l’avenir. »
« Dans le monde des affaires, malheureusement, le rétroviseur est toujours plus clair que le pare-brise. »
« La plupart des gens s’intéressent aux actions quand tout le monde s’y intéresse. Le moment d’acheter est quand personne ne veut acheter. Vous ne pouvez acheter ce qui est populaire. »
« Si jamais vous vous retrouvez dans un bateau qui coule, l’énergie pour changer de bateau est plus productive que l’énergie pour colmater les trous. »
« Une personne très riche doit laisser suffisamment à ses enfants pour qu’ils fassent ce qu’ils veulent mais pas assez pour qu’ils ne fassent rien. »
« Le système des impôts a complètement dévié en faveur des riches au dépend des classes moyennes au cours des 10 dernières années. C’est dramatique »
On l’aime tous, Itô!
et en plus d’être le seul économiste fiable qui prône la lutte des classes, il paraît qu’il a une petite-fille d’une trentaine d’années qui est adorable: ça rend sentimental. la prochaine fois je vous raconterai ce que Cornélius Castoriadis disait du structuralisme on ne s’ennuie jamais sur ce blog!
Mais que le hasard fait bien les choses… Que c’est bien dit (et bien écrit), j’ai parcouru plusieurs billets entre septembre et maintenant, c’est un blog, riche, intéressant, voire passionnant, beaucoup encore à lire chez vous !
Lu aujourd’hui dans la tribune de Genève qui reprenait une citation de Warren Buffet : " On a cherché les armes de destruction massive en Iraq alors qu’elles étaient fabriquées à Wall Street. "