Depuis cette date, Pascal Henry se trouve certainement à Genève, ainsi que le pressentait un des membres de sa famille.
Comme le souligne Ramón Llanas, correspondant à Paris de La Vanguardia, joint tout à l’heure au téléphone, « après tout chacun a droit à disparaître … »
L’ennui, c’est que le déferlement médiatique a pris une telle ampleur que, aujourd’hui, Pascal Henry, qui avait sans doute ses raisons de prendre de la distance par rapport à son aventure, est devenu un homme traqué, recherché par la plupart des polices d’Europe.
Je lui souhaite de réapparaître progressivement, tel un plongeur qui remonte à la surface, dans les meilleures conditions, et j’espère avoir le plaisir futur de parler avec lui de cette aventure, autour de la table de son choix. El Bulli, Gérard Rabaey, l’Astrance ou Hof Van Cleve : à lui de choisir ! Quand il en aura envie…
3 Comments
La nouvelle nous fait sacrément plaisir, même si on ne le connait que par "mille plateaux".
Merci pour la nouvelle.
Surtout longue vie à Patrick Henri qui a laissé libre cours à toutes les suppositions.
Et qu’il reparte pour la fin de la route 68
Patrick Henry, c’est autre histoire! Il y a quand même peu de risque que sa mystérieuse disparition vaille à Pascal Henry une condamnation à perpétuité!
L’important c’est qu’il est vivant.
maintenant, il peut prendre son temps pour ecrire son livre sur la route 68 qui finalement se termina en 40 sans oublié de mentionné les details de son évaporation reductive a El Bulli !!!!!
Jacques, je crois qu’il faudrait acheter les droits d’auteur sur cette histoire, si jamais tu as la chance de pouvoir parler avec lui, touche lui un mot avant que Voici ou Paris-Match ne te devance .
un Abrazo depuis les matinales collines du Priorat ou le soleil fait sont aparition