Une petite impro donc, un mariage impromptu autour de deux entrées festives, le Homard à la mangue, pousse de roquettes
et vinaigrette à la coriandre et citron confit. Puis un Foie gras chaud aux châtaignes, jus réduit au pain d’épices !
Et avec ça, le monument, du chant grégorien, un vin habité, mystérieux, fascinant, le Schoenburg 2004 de Jean-Michel Deiss. Fèves tonka, minéral, gypse, agrumes confits, réglisse, verveine, subtil, vibrant et ce corps fuselé, tendu, aérien, spirituel, habité par une sorte de grâce intérieure. Un vin mystique que tous les fondus de grands vins de terroir vont adorer. Voici une petite séquence pour le plaisir.
Comment
Ah le Schoenenburg, la bonne tête de M. Deiss, le sourire éclatant de sa femme. Et le vin qu’on rêve de goûter !