Allez, c’est l’occasion, on se fait un grand plaisir : je n’ai encore jamais parlé sur Mille Plateaux de l’une de mes grandes passions, le jazz. Voici donc une video unique avec Stan Getz et John Coltrane en duo, en 1960 à Düsselfdorf, mes deux modèles inaccessibles…. Frissons garantis ! Avec, en prime, Oscar Peterson, Paul Chambers et Jimmy Cobb…
Le Kai Zen à Lausanne
Si vous avez envie de partir à la découverte du monde, d’aborder des rivages lointains, de percuter en douceur les goûts, les textures, voici un endroit étonnant à découvrir : le Kai Zen à Lausanne. Un restaurant conceptuel, dépaysant, astucieux, un rien ébouriffant. Tant par ses propositions culinaires que par la théorie de jeunes et jolies filles qui occupent l’espace, le transformant bientôt en une bruissante galaxie. Quelques sigisbées ne déparent pas dans le décor. Même si, hier soir, j’y ai surtout remarqué des tables d’égéries, heureuses d’être là, entre filles, laissant distraitement tourner le vin dans le verre, chipotant délicieusement une verrine de St-Jacques à la bisque de homard ou une construction savante d’agneau à la truffe, lestée d’une tuile croustillante de pommes de terre. Toutes dans cette urgence soudaine du vendredi soir, un peu décousue, si émouvante, au moment où, dans le roulis des conversations, le monde s’offre à vous et ne s’arrêtera plus…
Si vous avez envie de partir à la découverte du monde, d’aborder des rivages lointains, de percuter en douceur les goûts, les textures, voici un endroit étonnant à découvrir : le Kai Zen à Lausanne. Un restaurant conceptuel, dépaysant, astucieux, un rien ébouriffant. Tant par ses propositions culinaires que par la théorie de jeunes et jolies filles qui occupent l’espace, le transformant bientôt en une bruissante galaxie. Quelques sigisbées ne déparent pas dans le décor. Même si, hier soir, j’y ai surtout remarqué des tables d’égéries, heureuses d’être là, entre filles, laissant distraitement tourner le vin dans le verre, chipotant délicieusement une verrine de St-Jacques à la bisque de homard ou une construction savante d’agneau à la truffe, lestée d’une tuile croustillante de pommes de terre. Toutes dans cette urgence soudaine du vendredi soir, un peu décousue, si émouvante, au moment où, dans le roulis des conversations, le monde s’offre à vous et ne s’arrêtera plus…
Kai Zen à Lausanne, un vendredi soir.
Le décor contemporain, tel qu’on l’imagine. Lounge bar à l’entrée et la grande salle derrière, cerclée d’anthracite, de grenat et de bleu cobalt. Ouverte sur la seule scène qui convienne, hormis celle de la beauté : la cuisine où officient une escouade tout de gris vêtue.
La cuisine ? Métissée, bigarrée, nomade : improbable synthèse du monde, ordonnée autour de quelques-uns de quelques-uns de ses grands cœurs gourmands : Paris, New York, Bangkok, Tokyo. Belles présentations, architectures savantes, les petits plats dans les grands. Service attentif et la carte des vins est griffée en grande partie CAVE SA.
La cuisine ? Métissée, bigarrée, nomade : improbable synthèse du monde, ordonnée autour de quelques-uns de quelques-uns de ses grands cœurs gourmands : Paris, New York, Bangkok, Tokyo. Belles présentations, architectures savantes, les petits plats dans les grands. Service attentif et la carte des vins est griffée en grande partie CAVE SA.
Demain : les Joues de porc confites, sucs de légumes et choux braisés avec un Grange des Pères 1995.
Comment
Amusant ce plat en trois strates. Merci pour l’idée !