Inutile de dégainer deux fois ! Les frères Pourcel l’ont compris très vite : le gastro, ça ne rapporte guère ; la bistronomie sans frontières, le prêt à porter culinaire, le dégriffé façon finger food, c’est l’avenir et le présent réunis. Prenez une grande salle rectangulaire, vitrée, une déco pas trop léchée, un peu hétéroclite, tendance Stark, quelques tentures, des gravures : le décor est planté.
Ajoutez-y une escouade de serveurs, carénés comme des sauteurs en longueur, qui cavalcadent des cuisines à la salle en un ballet fébrile, effervescent et pressurisé.
La salle est bondée, les tables serrées ; aucune confidence, même au cœur de ce tumulte exquis, ne vous sera épargnée ! La table voisine entame une aventureuse lune de miel au M & C. Serait-ce une image subliminale ?
Bon, passons aux choses sérieuses, penchons-nous sur la carte planétaire. Une douzaine d’entrées entre Asie et Méditerranée, parmi lesquelles une Raviole de morue fraîche avec une marinière safranée de légumes, une Pizzeta de poires au Gorgonzola, vinaigrette de miel truffé, jeunes pousses de salades ou des Cubes de saumon marinés, purée d’avocat pimentée, sauce Ponzu, salades mélangées. A la question, qu’est-ce que la sauce Ponzu un éphèbe pressé comme un juzu répond : « une sauce soja un peu plus sucrée… ». Dommage qu’il oublie le sidachi.
L'entrée est bonne mais pour 14 €, c’est pas donné. Quant au Mille-Feuilles de légumes crus et cuits, vinaigrette d’olives noires, il est hors saison, sans âme et fait penser à une chanson de Cabrel. Dès qu'on entend les premières mesures, on devine que la fin sera triste.
C'est le moment où la pièce va s’enliser, les acteurs se figer dans une ultime réplique, perdre leur texte. Ou alors, on attend un miracle avec, pour elle, le Curry de Poissons, Croquants de légumes, riz thaï cuit en feuille de lotus et, pour moi, les Calamars grillés à la plancha, vinaigrette de citron confit, pressé de légumes.
Question cruciale : ce dernier plat sauvera-t-il la soirée ? Force m'est de tenter de vous le décrire, la lumière parcimonieuse (comme à la parisienne Gazzetta) ne permettant aucune photo : un trait de pinceau à l’encre de seiche pour faire joli, un pressé de légumes amusant, quelques herbes folles et cinq calamars égarés qui se contemplent en chien porcelaine de Saxe : mazette à 24 euros, on les prendrait volontiers en pension !
C’est fini. La belle euphorie a duré : à la table d’à côté, le couple au Champagne a réanimé de vieilles braises et règle ses comptes à la Winchester.
Il est temps de quitter un des plus jolis malentendus de la région, abandonnant la conversation entrecoupée de silences avec un Chapelle de Bébian blanc 2008. Après un crochet par la bibliothèque où je cueille au passage une perle, le Journal intime de Sully Prudhomme, auteur un peu oublié aujourd’hui, même s’il fut le premier prix Nobel de littérature (1901), philosophe parnassien et académicien. Un exemple de cette prose fluide, enlevée et intelligente ? dont, c’est certain, François Mauss fera sa lecture quotidienne quand il se sera lassé du boson de Higgs ou « particule de Dieu »…
« Dans un couple, il y a toujours un tyran ? D’où vient cela ? C’est d’abord que, le plus souvent, l’amour n’est pas égal de part et d’autre ; le plus aimé se plaît à éprouver sa puissance et il craint moins de la perdre, parce que cette puissance est vraiment précieuse que si elle est jointe à la passion.
16 juin 1868
Il est onze heures. Je viens de passer la soirée dans une maison où j’ai dîné. Une femme âgée comparée à son portrait de jeune femme. Toute la beauté ne disparaît pas avec le temps, qu’en reste-t-il ? Ce qui venait de l’âme, le sourire, le regard et cette construction fondamentale du crâne qui marque l’intelligence et le caractère, et dont la graisse luxuriante d’autrefois ne modifie plus l’expression. Il reste la base de la beauté, et c’est encore de la beauté, mais le charme du masque est tombé avec lui, et certaines lignes dont la signification redoutable étaient dissimulées par l’embonpoint, ou n’était pas encore accentuée, se déclarent et trahissent l’âme. " Sully Prudhomme
Il est onze heures. Je viens de passer la soirée dans une maison où j’ai dîné. Une femme âgée comparée à son portrait de jeune femme. Toute la beauté ne disparaît pas avec le temps, qu’en reste-t-il ? Ce qui venait de l’âme, le sourire, le regard et cette construction fondamentale du crâne qui marque l’intelligence et le caractère, et dont la graisse luxuriante d’autrefois ne modifie plus l’expression. Il reste la base de la beauté, et c’est encore de la beauté, mais le charme du masque est tombé avec lui, et certaines lignes dont la signification redoutable étaient dissimulées par l’embonpoint, ou n’était pas encore accentuée, se déclarent et trahissent l’âme. " Sully Prudhomme
La Vinothèque VPoint à Montpellier et son restaurant De l'Art et du Cochon
PS Vous ai-je déjà laissés en rade ? Si vous croisez dans la région, suivez la mer qui remonte, presque, jusqu’ici et déroutez-vous par port Marianne, à la vinothèque Vpoint : son (liliputien et aérien) restaurant De l’art et du cochon propose une cuisine minimaliste et astucieuse.
Le chef navigue à vue dans quelques m2 mais sa feuille de route est impeccable. Bien aimé son Dos de skreï à la plancha, polenta rôtie, sauve vierge aux agrumes. (photo). Avec un solaire Pic Saint-Loup blanc 2007 Le Causse du château de Cazeneuve, l’affaire se présente sous un jour très favorable. Qui s’en plaindrait ?
Vous pourrez choisir votre bouteille parmi une sérieuse cargaison de cale, juste au-dessous, à des prix pleins d'aménité.
Vous pourrez choisir votre bouteille parmi une sérieuse cargaison de cale, juste au-dessous, à des prix pleins d'aménité.
La cuisine de l'Art et du Cochon
Les adresses
De l’art et du Cochon
55, avenue Marie de Montpellier – 34000 Montpellier
T. 04 67 68 51 27
De l’art et du Cochon
55, avenue Marie de Montpellier – 34000 Montpellier
T. 04 67 68 51 27
La Compagnie des Comptoirs
51, Avenue François Delmas – 34000 Montpellier
T. 04 99 58 39 29
22 Comments
Jacques,
Mangé à cette adresse il y a peu …
Beau repas et belles bouteilles (même si tout ne m’a pas conquis : les grandioses sans soufre, tu sais … le bois comme compagnon insistant du chenin, …).
L’environnement urbain immédiat est laid.
Je m’autorise un C/C pour être explicite 🙂
1. Stéphane Cossais Montlouis "Le Volagré" 2006
2. Saumur Domaine du Collier Charpenterie 2006
3. Côtes du Jura Ganevat Julien (sous la roche) 2008 : 14/20 – 23/1/10
Finesse et gouleyance florales et fruitées. Pensé Gamay non soufré non filtré chez Lapierre. Net, "de torche" (comme on dit). Pas vraiment ma tasse de thé mais cette formule aura son public.
4. NSG Mugnier Clos de la Maréchale 2006 : bouchon
5. Gevrey Combottes Arlaud 2007
6. Coteaux du Languedoc Ermitage du Pic St-Loup Guilhem Gaucelm 1999
7. Vouvray moelleux Vincent Carême 2008
Apparemment, les frères Pourcel aiment les endroit bruyants !
Laurent,
puisque tu as l’air "chaud", tu peux développer stp le bois sur :
1. Stéphane Cossais Montlouis "Le Volagré" 2006
2. Saumur Domaine du Collier Charpenterie 2006
7. Vouvray moelleux Vincent Carême 2008
?
Sur le 2. je peux comprendre. Mais les autres…
De plus, concernant les "grandioses" sans soufre, s’il y a un dégustateur que je connais bien et qui déteste les vins nature daubés, c’est bien Matthieu. D’où mon étonnement.
"De torche" c’est quoi, pour boire ? Un vin de soif ?
Je me réjouis de lire tes réponses…
Stéphane Cossais Montlouis "Le Volagré" 2006 : 14/20 – 23/1/10
Capiteux, languedocien ?
Beaucoup de grillé (on pourrait penser à un chardonnay de Tissot ou encore à un chenin de Pédréno) et école de Calce pour la maturité en retrait.
Approche ligérienne particulière (boisée, le 2005 goûté en juin 2008 puis en mars 2009 étant encore sous le joug enquiquinant des barriques) mais un résultat un peu uniformisé, peu caractérisé, qui ne m’emballe pas (en l’état du moins).
Pinot noir de Ganevat net, pas trop mal, que j’ai pris pour un Gamay …
J’avoue trouver le grand pinot plutôt en Bourgogne.
vin n°2, charpenterie s’avère explicite :
Saumur Domaine du Collier Charpenterie 2006 : (15,5/20)
Boisé, reclus, peu lisible, avec un peu de poire qui pourra entraîner vers un chardonnay. Il faudrait reprendre le 2002 pour voir.
Note : bien aimé le 2001 (en nov 2005), franc du … collier.
Vouvray moelleux Vincent Carême 2008 : 16/20
Joli sucre et goûts encore simplifiés de citron et de coing pour ce vin que je voyais plutôt en style demi-sec. Pureté, cohérence.
Là, tout va bien …
On a déjà évoqué ce côté "circus" des vins sans soufre …
Une forme de dilettante, parfois …
Cf le propos de Jacques récemment : des robes troubles, de l’éthanal … bref, du vin vivant !
Bon, les choses sont complexes, hein !
Rien de daubé dans ce Ganevat mais je ne suis pas très sensible à ce style de vin.
Je trouve un manque de typicité (alors que ces vignerons la revendiquent : peut-être ont-ils raison après tout).
Manque d’aspérités, de verticalité, de profondeur (celle que j’ai trouvé en apothéose dans le dispendieux Clos de Bèze de Prieuré-Roch).
Rappel de ce que je t’avais dit en privé :
Chinon Château de Coulaine « La Diablesse » 2004 : 15/20
… archétype du vin nature. Goûts "en avant" : jacinthe, cassis, réglisse, poivron rôti dans une ambiance olfactive de cave sombre et humide (tubercules). Rien à redire dans cette retranscription du cépage nette et lisible, pas excessivement joyeuse mais scrupuleusement fidèle à son terroir d’origine.
Bouche glissante, sympathique de par sa structure légère (St-Nicolas de Bourgueil ?), fraîche et très légèrement sucrée. Facile à boire, ce qui ne saurait être condamnable (puisqu’aussi bien il semble que ce soit le but recherché dans cette gamme de vins). Rappelons au passage que nous sommes ici sur une appellation exigeante (parfois acariâtre en jeunesse mais tous les vins ne sont a priori pas faits pour être agrémentés de patronymes métaphoriques humoristiques évocateurs et descendus, au nom du seul plaisir intuitif, comme des vins primeurs dans une atmosphère rabelaisienne), en général pas de plaisir immédiat, pensée pour le vieillissement et la table …
… Une succube "en surface". D’aucuns penseront à Lenoir ou Joguet, démentant par là même l’idée dépréciatrice qui veut que ce genre de vinification gomme le cépage (nous avons affaire à des dégustateurs hors norme et nous ne compterons évidemment pas le vote vote de celui qui a proposé ce flacon à notre sagacité).
Les autres, incrédules à l’idée du cabernet-franc, seront protégés par leur anonymat !
IMHO 🙂
Merci pour ces compléments, Laurent. Par contre j’avoue que je m’y perds…
Tu dis : "On a déjà évoqué ce côté "circus" des vins sans soufre… Une forme de dilettante, parfois… Cf le propos de Jacques récemment : des robes troubles, de l’éthanal … bref, du vin vivant !"
Je ne vois pas bien le rapport avec les vins dont il est question ici. Et tu sors le propos de Jacques de son contexte.
Je note bien au passage l’image persistante de rouge de soif que tu as du vin de gamay en général. Je saurai m’en rappeler qd je te ferai boire des vins à l’aveugle.
Et surtout, peux tu m’expliquer ce qu’est pour toi la typicité d’un pinot noir Jurassien ? Là tu m’intéresses de plus en plus. Surtout quand l’on sait que la plus vieille vigne de pinot noir en Jura est celle qui fait cette cuvée Julien…
😉
Nicolas,
Je ne prétends pas être défintif dans une case limité à n lignes ou x caractères … 🙂
J’ai parlé de rouge de soif pour pas mal de vins sans soufre, pas pour le gamay en particulier.
Dit par ex chez Olif qu’il me semblait que les Gramenon 2006 (dans les 3 cuvées) étaient en train de se casser la gueule.
Il y a en effet une certaine densité dans ce pinot de Ganevat (entendu Pierre me dire qu’il la trouvait plus concentrée que celle du Gevrey Combottes, assez certes).
Je pense que Philippe Ricard en avait à peu près la même perception que moi.
Pas facile de déceler à coup sûr la provenance d’un pinot, entre Jura, Alsace, Bourgogne (d’Irancy à la Côte Chalonnaise).
Je veux dire aussi que pour le moment, les très grands pinots noirs que j’ai bus venaient en grande majorité des grands crus bourguignons.
Pour finir, j’arrêterai probablement le vin le jour où je n’aurai que des certitudes, cad le jour où il ne m’enchantera plus, pour le meilleur et pour le pire.
Au fait, tu viens quand en ovalie ?
"Limitée"
"assez tendre certes"
Vivement les nouveaux éditeurs …
Nicolas,
J’oubliais le cr de la visite de Pierre Citerne au domaine en mars 2007 :
Stéphane Cossais Montlouis "Le Volagré" 2006 (sur fût neuf) : visite au domaine mars 2007 (PC)
Encore une très belle matière, tendue, ferme, dense, dotée d’une acidité vivifiante ; la prise de bois semble se faire en douceur.
Difficile à suivre dans son raisonnement, parfois, le Laurentg! Que reprocher au Pinot noir Julien 2008 ouvert ce soir si ce n’est que le magnum a bien failli y passer (à 3, dont moi, quand même!)? Effectivement c’est de "la torche". Peu de vins de Bourgogne peuvent se targuer d’être aussi bons et buvables à ce stade. Pas de boisage et la finesse du grain est telle qu’elle doit sans doute échapper à l’amateur de vins plus opulents. Une minéralité palpable, une relative densité et pas de soufre. Mais aucune déviance (c’est possible, ça?) et une élégance folle, celle que devrait certainement avoir tout pinot noir, celui que j’aime, en tout cas. En 2008, ce Pinot noir pesait 10,5°, sans dilution ni sous-maturité, vérification faite personnellement à 3 heures du matin après plusieurs tours dans les caves de la Combe. En 2009, il titrera pas loin de 13°.
J’arrêterai probablement de boire du vin le jour où je serai sûr de ne plus pouvoir boire des bouteilles comme ça!
Vive le Jura libre!
Olif,
Tu n’es pas le premier à me dire cela ! 🙂
Je respecte ton goût …
Comme le dit brillamment Jacques Berthomeau, pacifions les blogs (laissons la folie du monde dans d’autres zones, elles ne manquent pas, et méfiance vis-à-vis de l’excès de régionalisme). 🙂
Elégance folle si tu veux, mais j’ai bu en Bourgogne en décembre 2009 nombre de vins jeunes bien plus élégants, complexes, persistants (le potentiel), typés … et émouvants (à mon goût).
Ceci dans tous les styles …
J’ai bien décrit un vin irréprochable d’un point de vue organoleptique. Il est vrai que l’expérience des blogs, dont le tien, ou des contacts avec certains cavistes enragés, me prouve une certaine permissivité sur le sujet.
Et il est probable que je l’aurais plus apprécié chez le Fanfan (comme tu dis).
Qui dit d’ailleurs que je ne m’y enthousiasmerais pas aussi sur le Trousseau et le Poulsard (souvent abordés à l’aveugle sur Toulouse : le dépaysement leur est-il fatal ? ou bien suis-je inapte à les juger ? ou inconsciemment condescendant ? Tiens donc !).
Bon le plus important : il faudra qu’on boive un coup ensemble un de ces 4, du côté de la Tchaux, chez l’ami laurentP, par exemple ! 🙂
Ou ici à Toulouse si tu passes.
Avec grand plaisir.
…
…
On laissera les querelles de goût et d’égo au vestiaire, on vérifiera la complexité de l’analyse sensorielle (et des repères culturels) et on s’enivrera pour oublier que nous sommes mortels … (saveur = savoir).
Un truc : j’ai pas mal de vins protégés par le soufre dans ma cave … (mais je bois des 2 sortes, sans d’ailleurs parfois savoir où est la frontière). 🙂
Alors, Nico !
Répondu à tes questionnements ?
Je suis en train de goûter un Meursault Luchets 2002 de Roulot, à la robe très dorée, qui semble montrer des traces d’oxydation suspectes (ce citron confit accompagné de beaucoup de pomme, en ensemble un peu disgracieux).
Polémique … je l’attendais plus "blanc" …
Me rappelle un peu les Tessons Mon Plaisir 2000 bu aux Crayères (mais ici avec plus de tonus).
Presque, Laurent. Il me manque juste le développement et l’explication du "Je trouve un manque de typicité" quand tu parles du Pinot noir Julien 2008.
Et surtout qu’est ce que cette fichue typicité ?! A quoi sert-elle ? Existe-t-elle vraiment ? Qui fait des vins "typiques" ? Tout ça…
Je ne te cache pas que cela me rappelle un édito de Michel Bettane dans une ancienne RVF qui titrait : la nullité typique. Si tu vois où je veux en venir.
D’ailleurs ça ne m’étonnerait pas que les vins de Fanfan aient parfois des difficultés à passer l’agrément, où l’on juge je crois de la "typicité" des vins. On compare toujours à la moyenne, mais s’interroge-t-on assez sur cette fameuse "moyenne", ou "norme" ? Son sens, sa signification, pour ne pas dire significativité ?
Bon, on ne va pas faire une fixette là dessus non plus !
L’important, c’est quand même que chez De l’art et du Cochon, on mange vraiment bien, les très bons vins ne manquent pas, et ils sont proposés à des prix ultra corrects.
http://www.vpoint.fr/FR/a_table….
Oui c’est de la pub !
😉
Nicolas,
Expression nickel, ai-je confirmé.
La grosse majorité des 10 présents a proposé gamay.
J’aurais parié ton livret de ciasse d’Epargne sur Lapierre.
J’ai souvent trouvé dans les vins sans soufre un gommage de la typicité.
Les afficionados me disent le contraire.
Va comprendre, Charles !
PS : toute proportion gardée, on est presque dans un débat sur l’identité nationale ! 🙂
Typicité des vins d’origine contrôlée et identité nationale.
Laurentg, pensez-vous qu’il puisse s’agir d’une question de proportion de l’une à l’autre?
Pour ma part, la distribution de ce genre de comparaison me laisse sur ma soif.
Marti,
Il faut vous faut cela pour sortir du bois sous un pseudo ?
Laurentg, ma remarque n’a rien de personnel à votre encontre et je connais votre refus de tout déterminisme, reproduction de l’espèce mise à part, pour avoir lu ici ou là vos nombreux commentaires à ce sujet.
Marti,
Relisez le dernier livre de Lucy Vincent …
Et si vous nous donniez votre avis éclairé sur les vins peu protégés en soufre ?
Laurentg, merci de vos conseil de lecture. L’anagramme du nom de l’auteur est, à lui seul, un promesse de bonheur.
S’il m’est pour le moment permis de ne pas avoir d’avis sur "les vins peu protégés en soufre", vos allusions répétées au sous-bois pourraient bien achever d’orienter ma conviction.
> vos conseils > une promesse
Le commentaire de notre ami Philippe Ricard, qui se la coule douce en Polynésie française avant de nous rejoindre pour une verticale de Rayas/truffes assez complète :
degustateurs.com/forum/fo…