Le numéro 59 de Vinifera vient de paraître. Au sommaire, trois thématiques. Trois sujets qui font la part belle au géo-sensoriel dans ce nouveau Vinifera.
Trois lieux où l’entêtement de civilisation qui préside à la naissance des grands vins est perceptible avec une très haute intensité.
Vinifera 59
À Tinos, dans les Cyclades, où un passionné a recréé un vignoble qui produit des vins d’exception. Il fallait beaucoup d’opiniâtreté et une certaine dose de folie pour relever ce défi. C’est ce qu’a fait Alexandre Avatangelos. « Retrouver le terroir de Tinos, c’est un peu comme si on redécouvrait une Bourgogne qui aurait été abandonnée », écrivait récemment Laure Gasparotto dans le Monde. « Pas moins. Car le vin interpelle tellement le palais qu’il s’invite selon nous parmi les meilleurs au monde. »
Dans le Tessin verdoyant et contrasté, la viticulture a bien failli disparaître. Là également, elle doit sa survie et sa renaissance à des visionnaires et des vignerons amateurs.
Enfin, au coeur de l’Andalousie, à Montilla-Moriles, la maison Toro Albala perpétue une longue et fascinante tradition ; le temps prend une consistance et une saveur particulières. Ici, déguster un vin, c’est se souvenir et accéder à un temps qui, très souvent, est celui d’avant notre naissance. Expérience fascinante et unique. Bonne lecture !
Comment se procurer ce numéro spécial et prendre le temps de lire et de le savourer ? C’est ici
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