Je ne comprends rien à ces histoires de bastaque, de spy déchiré, d’affalage à la bouée sous le vent, de balancine, de winch, de génois – c’est fou ce que wincher est devenu un terme à la monde –, de tangon, de drisses. J’aimerais comprendre, connaître, sentir l’humeur des vents, larguer des amarres, caboter un peu, puis filer en haute mer, croiser des îles (j’y serai la semaine prochaine), faire fi des objection, « les objections viennent toujours du rivage » ! Mais, las, je suis né alpin, la verticalité est mon monde et les montagnes m’attirent davantage encore que les ressacs. J’ai d’ailleurs été très rassuré d’entendre ce matin, sur RSR1, ce commentaire d’Ernesto Bertarelli, le charismatique patron d’Alinghi : » C’est incroyable, nous avons remporté cette cinquième manche pour une seconde : Dieu nous a aidés ! Nous sommes tout, tout en haut du Cervin !… »
Et moi qui croyais, Ernesto, que vous étiez à Valence… Bienvenue au club !
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Pensé au Cervin quand je suis passé tout près de ce sommet himalayen :
http://www.trekearth.com/gallery...
http://www.flickr.com/photos/291...
Ah Laurent ! vous allez repêcher de très anciennes strates ! On aurait pu dire aussi le Bietschhorn (encore plus beau que le Cervin).
Un écho à votre post récent sur la diachronicité des blogs …
Marrant de voir comment le texte était compact au tout début.
Marrant de se dire aussi, si on en croit les prospectivistes (Attali, Gaudin, …), que la majorité des environnements électroniques qui accompagneront notre vie dans 15 à 20 ans n’existent pas encore (et que donc nous n’en avons absolument aucune idée).